Essai Ducati Multistrada 1260 Pikes Peak
Publié : sam. août 11, 2018 13:44
Multistrada tout est dans le nom, multi-route si vous préférez en français et cette promesse alliée à l’ADN sport de la marque Ducati voilà un programme qui me plait. j’avais un week-end pour tomber sous le charme de la Multistrada, il me faudra quelques mètres pour succomber et savourer ces quelques jours au guidon de la moto la plus enthousiasmante que j’ai testé depuis que j’ai le permis.
Ce week-end de test coïncidait avec le Café Racer Festival qui se tenait à Montlhéry, une bonne occasion de prendre la route chaque matin depuis Paris vers le célèbre circuit et de me rendre compte que la Pikes Peak remporte un énorme succès sur le stand Fictech qui m’accueillait pour ces trois jours. La ducati volait la vedette de bien des modèles et les passionnés venaient tout au long du week-end me poser des questions sur cette moto.
Moteur
Equipée du fabuleux moteur de la XDiavel, tout en conservant la technologie DVT de calage variable de la distribution et rehaussé en cylindrée, le twin de la Strada élargit sa plage de couple et sa disponibilité. A 3500 tr/mn vous bénéficiez déjà de 11,2 mkg. Les 158 ch n’attendent que vous pour vous catapulter dans un monde où le sourire béat du pilote heureux ne vous quittera pas. La Multistrada est civilisée jusque 4000 tr/min et devient démoniaque ensuite, la conduite sur le couple qu’affectionne les clients de la catégorie est un régal. La robe “Corse”, les pièces carbone et ses peintures de guerre vous promettent du sport mais elle sait également voyager en toute quiétude.
Prise en main
La prise en main est facile, la hauteur de selle permet à un gabarit moyen de s’installer au guidon sans crainte, certaines rivales sont plus difficiles d’accès. A son guidon les commandes naturellement sous la main. L’écran diffuse un maximum d’information, vitesse, régime, heure, trip et tous les réglages de la moto. Vous pouvez choisir votre mode de conduite et régler les aides de conduites.
Equipement
L’équipement est complet, la liste longue comme le bras : ABS en courbe Bosch 9.1ME, cruise control, assistance au démarrage en côte Vehicle Hill Control (VHC), anti-wheeling et traction control DTC réglable sur 8 positions et déconnectable, connectivité bluetooth via l’écran couleur TFT 5 pouces du tableau de bord, éclairage en virage intégré au phare full led, et la suspension pilotée semi-active Ducati Skyhook Suspension (DSS) Evolution.
Les jantes en aluminium forgées sont signés Marchesini et font baisser le poids de 3 kilos, l’amortissement signé Öhlins : fourche inversée de 48 mm réglable en détente, compression et précharge à l’avant et amortisseur intégralement réglable TTX36 à l’arrière. La ligne d’échappement vient de chez Ducati Performance by Termignoni. j’allais oublier de citer les poignées chauffantes.
Au guidon
La position sur la Strada est confortable, la moto invite au voyage et sa protection assure encore plus d’agrément. La bulle est réglable en hauteur, les mains sont également protégées et le gros réservoir fait le reste. Avide de kilomètres la Ducati propose un régulateur de vitesse bien pratique sur nos routes. Sur l’autoroute que ce soit à 110 ou 130 km/h les kilomètres défilent facilement. La moindre sollicitation de la poignée de droite vous permet de distancer un automobiliste ou de doubler en toute sécurité, tout ceci sur le couple éléphantesque de l’ensemble.
la tenue de route est excellente et la moto vous met en confiance, c’est assez rare de se sentir autant en confiance, il faut dire qu’entre les suspensions, les freins et les différentes aides tout est fait pour que votre seul crainte soit de louper l’heure de l’apéro.
La consommation moyenne de mes 4 jours se situait autour de 5,4 litres une belle surprise et la promesse de long voyage sans arrêt à la pompe.
En ville ou dans les bouchons la Multistrada se faufile comme un petit chat, sa hauteur permet à ses rétroviseurs de passer au dessus de ceux des autres usagers (sauf utilitaires) et sa redoutable maniabilité fait oublier son gabarit. j’ai été vraiment bluffé par la facilité à me faufiler dans le marasme automobile parisien, l’embrayage de mon modèle d’essai n’était pas trop dur, bref un régal dans Paris. Autre avantage, sa suspension, les rues parisiennes sont dans un état déplorable, des trous, des bosses, des ornières, bref des pièges pour tous les usagers en 2 roues. Ici la strada se joue de toutes les difficultés, je me permets même de remonter les Champs Elysées, un exercice que j’ai abandonné depuis longtemps en scooter tant la route est défoncée, la Ducati tient le pavé et prend soin du pilote et de son passager. Quel bonheur de ne pas trembler à chaque coin de rue !!! ici aussi la Ducati 1260 Multistrada Pikes Peak attire les regards et la discussion au feu rouge. Elle me fait penser à une autre italienne, l’Abarth 124, même succès, même plaisir mais à 4 roues.
En résumé cette moto vous invite à prendre la route, que ce soit pour vous rendre au travail ou pour partir à l’autre bout de l’Europe. l’agrément de conduite et son fabuleux moteur vous garantissent un moment hors-pair.
Ce week-end de test coïncidait avec le Café Racer Festival qui se tenait à Montlhéry, une bonne occasion de prendre la route chaque matin depuis Paris vers le célèbre circuit et de me rendre compte que la Pikes Peak remporte un énorme succès sur le stand Fictech qui m’accueillait pour ces trois jours. La ducati volait la vedette de bien des modèles et les passionnés venaient tout au long du week-end me poser des questions sur cette moto.
Moteur
Equipée du fabuleux moteur de la XDiavel, tout en conservant la technologie DVT de calage variable de la distribution et rehaussé en cylindrée, le twin de la Strada élargit sa plage de couple et sa disponibilité. A 3500 tr/mn vous bénéficiez déjà de 11,2 mkg. Les 158 ch n’attendent que vous pour vous catapulter dans un monde où le sourire béat du pilote heureux ne vous quittera pas. La Multistrada est civilisée jusque 4000 tr/min et devient démoniaque ensuite, la conduite sur le couple qu’affectionne les clients de la catégorie est un régal. La robe “Corse”, les pièces carbone et ses peintures de guerre vous promettent du sport mais elle sait également voyager en toute quiétude.
Prise en main
La prise en main est facile, la hauteur de selle permet à un gabarit moyen de s’installer au guidon sans crainte, certaines rivales sont plus difficiles d’accès. A son guidon les commandes naturellement sous la main. L’écran diffuse un maximum d’information, vitesse, régime, heure, trip et tous les réglages de la moto. Vous pouvez choisir votre mode de conduite et régler les aides de conduites.
Equipement
L’équipement est complet, la liste longue comme le bras : ABS en courbe Bosch 9.1ME, cruise control, assistance au démarrage en côte Vehicle Hill Control (VHC), anti-wheeling et traction control DTC réglable sur 8 positions et déconnectable, connectivité bluetooth via l’écran couleur TFT 5 pouces du tableau de bord, éclairage en virage intégré au phare full led, et la suspension pilotée semi-active Ducati Skyhook Suspension (DSS) Evolution.
Les jantes en aluminium forgées sont signés Marchesini et font baisser le poids de 3 kilos, l’amortissement signé Öhlins : fourche inversée de 48 mm réglable en détente, compression et précharge à l’avant et amortisseur intégralement réglable TTX36 à l’arrière. La ligne d’échappement vient de chez Ducati Performance by Termignoni. j’allais oublier de citer les poignées chauffantes.
Au guidon
La position sur la Strada est confortable, la moto invite au voyage et sa protection assure encore plus d’agrément. La bulle est réglable en hauteur, les mains sont également protégées et le gros réservoir fait le reste. Avide de kilomètres la Ducati propose un régulateur de vitesse bien pratique sur nos routes. Sur l’autoroute que ce soit à 110 ou 130 km/h les kilomètres défilent facilement. La moindre sollicitation de la poignée de droite vous permet de distancer un automobiliste ou de doubler en toute sécurité, tout ceci sur le couple éléphantesque de l’ensemble.
la tenue de route est excellente et la moto vous met en confiance, c’est assez rare de se sentir autant en confiance, il faut dire qu’entre les suspensions, les freins et les différentes aides tout est fait pour que votre seul crainte soit de louper l’heure de l’apéro.
La consommation moyenne de mes 4 jours se situait autour de 5,4 litres une belle surprise et la promesse de long voyage sans arrêt à la pompe.
En ville ou dans les bouchons la Multistrada se faufile comme un petit chat, sa hauteur permet à ses rétroviseurs de passer au dessus de ceux des autres usagers (sauf utilitaires) et sa redoutable maniabilité fait oublier son gabarit. j’ai été vraiment bluffé par la facilité à me faufiler dans le marasme automobile parisien, l’embrayage de mon modèle d’essai n’était pas trop dur, bref un régal dans Paris. Autre avantage, sa suspension, les rues parisiennes sont dans un état déplorable, des trous, des bosses, des ornières, bref des pièges pour tous les usagers en 2 roues. Ici la strada se joue de toutes les difficultés, je me permets même de remonter les Champs Elysées, un exercice que j’ai abandonné depuis longtemps en scooter tant la route est défoncée, la Ducati tient le pavé et prend soin du pilote et de son passager. Quel bonheur de ne pas trembler à chaque coin de rue !!! ici aussi la Ducati 1260 Multistrada Pikes Peak attire les regards et la discussion au feu rouge. Elle me fait penser à une autre italienne, l’Abarth 124, même succès, même plaisir mais à 4 roues.
En résumé cette moto vous invite à prendre la route, que ce soit pour vous rendre au travail ou pour partir à l’autre bout de l’Europe. l’agrément de conduite et son fabuleux moteur vous garantissent un moment hors-pair.