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Stage Monneret à Montlhéry : Perfectionnement 1
19/04/2008
Salut à tou(te)s
Le circuit de Montlhéry reprend du service.
Et c’est pour la bonne cause : des stages moto !
Perso, la dernière fois que je suis allé là-bas, c’était pour les Coupes Moto Légendes et çà devait être il y a 7 ou 8 ans. Depuis, le circuit est fermé et réservé à l’UTAC.
C’est vrai que quand on pense Montlhéry, on pense immédiatement à l’ovale avec ses virages incroyablement relevés et témoins du temps qui passe…
Mais il n’y a pas que çà, voici le tracé complet vu du ciel :
En réduit en 800x600 :
ou à cliquer en pour les grands écrans :
Et c’est surtout la partie gauche, dite « circuit routier », qui nous intéresse pour ce stage.
Pour les amateurs ou les nostalgiques, voici un petit historique du circuit.
Bref, vous l’avez compris : un circuit mythique s’ouvre à nous !
Deux stages sont proposés par Monneret depuis cette année sur cette piste : Perfectionnement 1 & 2.
Chacun se déroulant sur une journée (le 1 le samedi, le 2 le dimanche) et pouvant être couplé pour un WE complet.
Stage 1 : 240€
Stage 2 : 260€
Stage 1+2 : 450€
J’ai eu la chance qu’on m’offre le niveau 1, et comme j’avais le choix dans la date , je me suis inscrit au premier WE dispo… C’est seulement après que j’ai réfléchi qu’en RP au mois d’avril… bah… il pleut
Samedi 19 avril matin…
Après une semaine à regarder la météo chaque jour, j’ouvre les volets et … pluie !
Youpi…
Le trajet (70 kms de la casa) est avalé rapidement, allant d’averses en averses, doublant des petits troupeaux de motards qui descendent plus au Sud rejoindre Le Mans pour les 24h.
Dans ma tête, je me répète inlassablement les consignes du jour :
- pas le droit de te faire mal,
- pas le droit de plier ton enclume,
- évite d’être le boulet du jour, vue la réputation de taquin de Monneret,
- AMUSE TOI
Juste le temps de trouver une station pour faire le plein à l’abord de l‘autodrome et me voilà arrivé sur place à 9h00 pile avec deux autres motos…
...bloquées devant les grilles, irrémédiablement fermées… Impossible de passer, le RdV était à 8h00 a priori, pas à 9…
Bon, au moins je suis pas seul à avoir pris les infos (contradictoires) sur le site monneret.com et non sur l’email de confirmation qu’on a reçu…
La très charmante Marilyne finit par venir nous chercher sur sa Z, discutaille avec la sécu et nous fait ouvrir, on rejoint le parc où sont déjà garés une vingtaine de machines ... majorité de sportives, et dans le folklo : Versys, R1150R, quelques roadsters et ma grosse tata .
et on en rentre dans la salle du Club Total rejoindre le briefing avec une plombe de retard, conspué par un Monneret déjà bien en forme, accompagné de Christophe Cogan (qui c’est ? je vais y revenir…).
Bref, 1ère victoire pour moi qui ne voulais pas me faire remarquer…
peine le temps d’avaler un café sous les instructions "paperboardisé" et rapides de Cogan :
« bon, çà, c’est un virage, la corde c’est là, la piste c’est là, ici y a des glissières partout, donc on vise pas les bacs à graviers, y en a pas »
...que c’est l’heure d’aller faire les pressions de pneus à la station UTAC dans l’enceinte.
AV 2,1 / AR 1,9 qu’il préconise, sous les étonnements de certains qui roulent aux normes constructeurs.
Avant de rejoindre les motos, je m’en grille une petite avec Cogan…
moi : - sympa Montlhéry ...toussa toussa… et sinon, tu roules un peu ?
lui : - bah ouais, un peu
- nan, mais tu fais un peu de compét’, toussa ?
- oui oui, c’est çà
- génial, en quelle catégorie ?
lui, de sa voix la plus douce et humble :
- bah… j’ai fait du grand prix en 250, le mondial supersport et sinon, je suis vice champion du monde d’endurance avec le SERT.
J’ouvre la bouche pour répondre, digère l’info, la referme sans dire un mot, et me parle intérieurement « Mais tu vas fermer ta gueule oui ? »…
Oui je sais, belle perf…
Bon, on fait tous la queue, regardant le ciel menaçant mais la pluie s’est arrêtée depuis une heure, le sol, lui, tient bien de la pataugeoire.
Crouic dans le bide
C’est Monneret qui nous gonfle nos pneus… çà l’amuse de se moquer de nos pressions…
Devant moi, un champion sur une MTS 1000… verdict : 2,9 AV et AR… ah oui, quand même…
Juste avant de passer, un type vient me taper dans le dos. Je me retourne, et il me lance, montrant mon pneu AR du doigt :
« Eh ! T’as une vis plantée dans le pneu là… »
Re-crouic dans le bide
Je descends de la brêle, manque de me la faire tomber dessus car j’ai mal estimé la pente et regarder mon power trempé… magnifiquement orné d’une superbe vis cruciforme, rentrée dans la bande de roulement le pneu jusqu’à la tête.
Je pose mon doigt délicatement dessus, et frifrlfrlfrlfr, pleins de petites bulles s’en échappent.
Youpi
Génial
Super
La joie
PUTAIN DE MERDE !
Marilyne va voir Monneret, lui demande s’il y a pas un kit tubeless dans le coin, réponse : « Nan, il a qu’à aller sur la N20, y a des concessions, il fait réparer et il revient plus tard »
BORDEL DE NOUILLE !
Il est 9h45, les autres rejoignent la piste et moi je reste planté là comme un con…
Cogan vient me voir, toujours débordant de gentillesse, et me dit qu’il va essayer de trouver de quoi me réparer çà… il finit par trouver des mèches dans un box qu’il me dépose, fonce à l’autre bout du circuit …
et je rejoins seul, à petite allure, kit tubeless posé sur le réservoir, le paddock où les accompagnants des stagiaires attendent sagement.
Quelques minutes plus tard passées à chercher de quoi retirer la vis et synchroniser la démarche avec le toubib du jour qui me file un coup de main pour réparer ("toi tu mets le doigt !" "nan ! TOI tu mets le doigt !"), je retourne faire ma pression (oui… 1,2 bar à l’AR, çà aurait p’tet été limite …) et… me demande où aller rejoindre les autres…
Bon, on s’en cogne, on envoie, pis on verra bien où on arrive…
A mi-ligne droite, je vois une moto puis deux qui arrivent sur la voie d’en face (à droite), pilent, tournent devant moi et réaccélèrent.
Bon, çà doit être par là… les exercices se font sur le "petit" circuit :
Je colle mes précédents… pfff… çà traîne… bon allez, j’en passe un devant le paddock et…
Mais qu’est-ce que c’est ?
Pourquoi la route elle descend d’un coup ?
Gnaaaaaa... pas vu la cuvette arriver, du coup la moto descend mais le corps suit avec un temps de retard…
bon, çà remonte en tournant à droite, çà devrait suffire à ralentir en accompagnant d’une léchouille des freins…
Re-gnaaaaa , le droit remonte en aveugle puis « casse » d’un coup sur un plateau en dévers puis une descente, toujours à droite… bon comme j’ai bien ralenti je sens juste la moto délester mais il faudra faire gaffe ici… en plus c’est trempé et à l’ombre.
Allez, dans la descente je dépasse le premier qui freine hyper tôt avant de plonger dans un gauche serré... j’adopte l’attitude du padou-pas doux, à savoir : « maxi déhanché - zéro angle
» et remonte dans un droit léger qui se finit en dévers par…2 cônes oranges avec Cogan et Monneret à coté… surpriiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiise !
Merde, j’ai complètement zappé qu’ils avaient commencé un atelier… Allez, réfléchis… Faut faire quoi avec ces 2 cônes ?
Les shooter comme au permis ?
Faire un arrêt d’urgence ?
Les fumer ?
En m’approchant et en essayant de freiner à peu près proprement (s’agit pas de s’y mettre au premier passage devant les instructeurs, j’ai une fierté moi mossieur), je remarque d’autre cônes sur la droite.
OK pigé, en fait ils coupent le circuit là pour en faire une épingle.
Bon, on déhanche pour limiter la prise d’angle, on va chercher les cônes à la corde, et fier de moi j'enfile gazou gazou…
Pas bonne idée, déjà que l’épingle qui n’a pas le même revêtement s’accompagne donc de deux raccords, elle se termine en plus par une bande blanche au sol de stop…
Donc gazou + bande blanche + pneu froid + mouillé = zouip sous les yeux du duo formateur…
Oups…
Du coup je décide de finir mon tour traaaaaaaaanquille pour repérer les autres pièges quand au bout de quelques secondes j’entends un avion de chasse m’arriver dessus… c’est Monneret sur sa R1 qui vient se coller contre moi en roulant et me fait signe d’y aller mollo.
Youpi
C’est qui le patron de la discrétion déjà ?
Encore quelques tours comme çà, bien tranquille, j’ose même plus doubler, quand arrive le 1er débrief.
Monneret :
« Bon… vous avez rien compris, vous êtes droits comme des piquets, vous regardez pas où il faut et vous sortez même pas le genou »
Silence. Il reprend :
« Bon il est où le 18 avec la Kawa verte ? »
Je sors du troupeau et lève le bras, un peu piteux…
Lui : - Bon, c’est toi l’excité de la poignée du jour ? T’as pas vu que çà glissait ? T’as décidé de te mettre au tas ? Nan mais dis le, çà sera plus simple !
Moi : - ok … ok… c’est juste que j’ai pris l’atelier en cours… je savais pas ce qu’il fallait faire…
Lui, en rigolant : - Encore mieux… alors t’es le seul à déhancher, et t’es le seul à pas avoir reçu les instructions… donc mes instructions on les comprend pas c’est çà ?
Et le lauréat du profil bas est attribué à…. sckrichhc..sckrickrich...
.
On reprend l’exercice… tout le monde se détend un peu, la pluie n’est toujours pas revenue et la piste se fait moins grasse par endroit.
Dans la partie la plus technique (le freinage en devers suivi de l’épingle à droite), Cogan montre à chacun l’attitude à exagérer sur la moto.
Même si le genou est encore loin à cause de l'humidité (Monneret ne le met pas non plus… donc on va pas forcer le talent hein…), çà sent déjà la bonne marrade, avec un peu de glissouille à chaque courbe…
Un peu avant le déj, Monneret emmène les deux filles présentes (une stagiaire et une accompagnante) à l’arrière de sa R1 pour 2 gros tours… çà lève à chaque raccord, çà glisse partout, …
Ah oui… quand même…
Juste avant la pause déjeuner, roulage par groupe de 4 dans la roue d’un instructeur…
Je pars 3ème, reprend les deux gex qui me précèdent et reste dans la roue de Monneret pendant quelques tours. Lui regarde en permanence dans le rétro et adapte la distance qui nous sépare en montrant les bonnes trajectoires… moi derrière, c’est très gros plaisir…
y a juste la cassure/dévers qui suit la cuvette qui est hyper délicate… Monneret arrive à 230 dans la cuvette, freine le tout et décolle à peine les deux roues sur la cassure avant de tenir fermement sa moto dans le dévers…
Trop dangereux, il installera après notre passage une chicane artificielle en plots juste avant la cuvette pour éviter le pire…
Pause déjà, debrief, bonne humeur.. on a été filmé toute la matinée mais le cameraman n’arrive pas à le mettre sur TV…
Bon, bah en piste alors !
Le vent s’est levé pendant le déjeuner, quelques coins de ciel bleu et surtout un peu de sec sur la piste nous accueille pour une session libre d’une petite demi heure.
Bon, là, tout le monde est en phase de digestion, j’en profite pour flatter mon ego et m’amuser comme un gosse … quand on nous arrête pour un nouvel atelier :
Prendre l’enchaînement de virages en soignant trajectoire, regard, position du corps et réaccélération.
Le tout entre cônes, comme ici (on voit mieux la bande de stop dont je parlais en sortie d’épingle) :
En 800x600 :
Sinon :
là
Monneret nous fait une démo… passe à toc avec la R1 et rattrape de peu un high side en sortie du gauche du bas (n°4 sur la carte ci-après) sous les « whaaaaaaaaa » des stagiaires… tu parles, il a failli s’en mettre une oui…
Allez, à nous !
Là, c’est le panard… pour suivre :
En 800x600 :
Sinon, là
Phase par phase :
1 : à bloc, fond de 4, gros freinage pour passer la chicane en 2, zone un peu bosselée mais sèche
2 : je mets la 3 juste avant la cuvette.. là, selon les passages, j’ai la roue avant qui lève de quelques cms au moment où la route plonge… miam !
3 : en bas de la cuvette, dès que çà remonte, je lâche tout et déhanche pour limiter la prise d’angle au maximum, je me mets bien en appui sur les cuisses, sans contact avec la selle car au passage de la cassure, la moto déleste énormément et le guidon joue la samba…
Assurément le point le plus chaud du circuit ! Sensations incroyables à la clé…
4 : freinage en descente puis on plonge à gauche pour aller chercher la corde tôt car l’extérieur de la piste est hyper gras ici (je m’en rendrai compte plus tard en tentant un exter’ pourri à un précédent).
Le bitume est à gros grains… le genou y rebondit plus qu’il n’y frotte et on soigne l’accélération en 3
5 : là, à nouveau un freinage délicat, la zone est humide et en dévers négatif, je freine uniquement de l’avant, et à chaque fois le rétrogradage en 2 suffit à faire glisser gentiment la roue AR vers l’extérieur.
D’abord je passe le raccord de bitume (bien visible sur la phot de l’atelier) puis mets plein angle et ne relève le genou qu’une fois la roue AV sur la bande blanche.
Là, il faut être doux avec les gaz (en 2) car la piste redescend et le bitume a une allure un peu boueuse qui ne donne pas confiance. Je passe la 3 rapidement et balance la moto sur son élan en descente dans le gauche léger. Peu d’angle à cet endroit.
6 : Selon les passages freinage léger et là on couche la moto (c’est vraiment l’impression que çà donne car le droit qui suit est en léger devers positif) dans le virage du gendarme.
Gros plaisir là.
Perso je garde la corde tout le long en accélérant progressivement sans relever la moto (ce qui me vaudra de me faire rappeler à l’ordre une fois de plus par Monneret…) car je ne sens pas l’extérieur de la piste qui présente des traces de mousse au sol (genre la vallée de chevreuse l’automne).
Puis gros paté en poussant la 3 et passage de la 4 …
7 : …pour arriver dans un gauche rapide qui emmène à la ligne droite. La moto se comprime beaucoup et la garde au sol peut être mise à mal là, attention. Le genou passe à 160 dans un raclement court mais à nouveau jouissif.
Plein gaz, je relève la moto et c’est toujours la même, au moment de me remettre en selle il y a un creux puis une bosse qui font s’agiter le guidon du ZRX… la seule technique que j’ai trouvée, c’est de ne pas couper, sinon le phénomène s’accentue et c’est un coup à se prendre un bon guidonnage…
Monneret lui passe sur la roue AR, mais bon… c’est parce que lui c’est une tafiole…
8 : Ligne droite, assez bosselée.
210 km/h au mieux pour moi avant de freiner, 230 pour les missiles sol-sol présents, 270 pour Monneret, 160-180 pour les moyennes cylindrées…
Gros freinage et passage d’une épingle minuscule et mal revêtue à même pas 50, avant de reprendre l’autre ligne droite en évitant la flaque d’eau pile sur la trajectoire.
Voilà, z’avez fait un tour complet du « petit » circuit (en gros, 1’40 pour un poireau comme moi).
On passe à un nouvel atelier : le freinage !
Bon, c’est pas là que je me suis le plus amusé… quoique :
On forme 2 files à l’arrêt au tout début de la ligne droite (après la flaque).
Départ deux par deux toutes les 30 secondes.
Plein gaz (c’est le côté marrant, genre 200m DA ) puis on stabilise à 100 km/h, et dès le passage d’un cône on pile jusqu’à l’arrêt.
Une fois arrêté, Cogan a 20 sec pour expliquer ce qui va pas à chacun, pis on repart à deux pour un tour complet (d'où l'intérêt de trouver un bon copain de jeu )
But de l'exercice : bien s’appliquer sur la position (bras tendus, regard, etc), s’arrêter avant l’autre, et … ne pas bloquer ni se retourner ! (facile pour ma péniche, moins pour les RR modernes et leurs étriers radiaux)
Idem ensuite à 140, puis en rajoutant le rétrogradage et sans le frein AR.
Dernière partie : quelques tours sur le « grand » circuit, que tous ont pu découvrir le matin pendant que je réparais mon pneu.
Cogan me glisse :
« Bon, comme toi tu l’as pas vu ce matin, attention à la descente et son gauche, hyper piégeur, le reste c’est du bonheur »
puis se lance et ouvre pour tout le monde, je me place 4ème, puis remonte 3ème derrière un Z1000 pour ne pas (trop) perdre Cogan de vue.
Cogan s’amuse… lui est accroupi, et prend ses virage les pieds sur la selle de la moto… moi je suis derrière le genou au sol et je lui reprends rien… genre de leçon d’humilité…
Bon, je ne reprends pas l’explication la partie du petit circuit. Disons qu’au lieu de tourner à l’épingle (5), on continue tout droit.
Comme çà (flèche rouge) :
ou là
Et on déboule dans :
A : une longue descente avec un bitume défoncé… le cul passe son temps à rebondir sur la selle là…. Et on prie en serrant fort les dents et le réservoir entre les jambes.
Au bout… gros raccord : bitume blanc !
B : on pense arriver dans un endroit plus calme mais non, ce gauche c’est de la merde en barre… goudron digne d’un champ de mines… Cogan nous gratifiera d’un gros guidonnage à la réaccélération… le truc qui calme 50m devant toi…
C : Fin de la descente, gros freinage pour arriver dans un superbe droit en dévers positif.
Très proche de la parabolique de Carole en un peu plus petit pour ceux qui connaissent.
Bitume nickel… là on pose tout, exter/inter/exter c’est le panard …
Le Z1000 devant moi en profite même pour planter son repose pieds intérieur, perd l’avant un instant et repart, destabilisé…
S’agit pas de se faire mal, chacun est fatigué en fin de journée, autant la jouer prudent…
Du coup j’attendrai 500m pour l’attaquer
D : droite en montée. Une longue saignée suit le milieu du goudron, donc ici je suis la corde tout le long, çà passe à 130/140 genou au sol et plein gaz en montée…
E : …avant de rejoindre le même bitume blanc du « C », trous compris… je soulage tout ici en attendant que la tempête passe et retourne enquiller la partie du petit circuit…
Voilà
Déjà 17h30, c’est l’heure du debrief.
Toujours pas de raccord vidéo.
Tout le monde est content, beaucoup de fatigue sur les visages et plein de sourires avant de reprendre la route, sauf pour les (rares) veinards ayant signé pour le WE complet (stage 1 & 2).
En conclusion, le retour sur le circuit de Montlhéry pour ce type de formation est une vraie réussite, car on ne parle pas chrono ici, on reprend surtout les bases, et tout le monde cherche à se faire plaisir.
Le pur pistard n’y trouvera pas forcément son compte, tant le bitume est variable.
Mais y a moyen de prendre de l'angle... la preuve sur ma belle :
Par contre, çà me semble particulièrement adapté pour quelqu’un de niveau débutant (stage 1) à moyen (stage 2) qui aime se faire plaisir sur route et qui a envie de (re)découvrir un tracé aussi mythique que ce routier….
Pis Cogan et Monneret sont bien disponibles et jamais avares en conseils.
Bref, n’hésitez pas
Bonne lecture
Et voici la vidéo avec les bouts que j'ai récupéré et montés (désolé, c'est ma première fois au montage)
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