J'allais écrire que je me décide enfin à faire une présentation, quelques brèves semaines après mon inscription. C'est non sans surprise que je constate que mon inscription remonte déjà à... juillet 2019.

Je trouvais grossier de m'inscrire sans rien dire pour profiter de toutes les infos techniques du forum sans même un petit "merci" ni une présentation.
Du coup, merci à tous pour le partage et les conseils.

Concernant la présentation du bonhomme: Rossi, de Suisse, immature aux cheveux blancs naissants (la mentalité d'un ado attardé coincé dans le corps d'un trentenaire aigri


Je ne suis pas particulièrement attiré par les motos japonaises, encore moins par les 4 cylindres...
Okay, cool... du coup, il fait quoi ici ce couillon?

J'avoue avoir depuis longtemps un faible pour les gros 4 pattes style "muscle bike", sans compter ma nette préférence pour tout ce qui est "youngtimer" (1985~2000, en gros) et j'aime beaucoup les vieux 4 pattes remis au goût du jour qu'on trouve souvent du côté des japonais.
La ZRX est celle qui, à mes yeux, rassemble un peu de tout: années 90, pas d'électronique et elle me fait penser aux vieilles superbike US.
Du coup, je suis attiré ni par les jap', ni les 4 pattes... mais j'ai toujours voulu une ZRX.

C'est désormais chose faite depuis juillet dernier et l'acquisition d'une 1100 violette de 1999.
Après quelques gros twins italiens (que je possède toujours) et une Speed Triple 955 (vendue pour la ZRX), je ne m'attendais à rien de bien particulier au niveau des sensations et du plaisir de conduite. J'ai acheté cette ZRX sur un coup de tête en me disant que ça me ferait expérimenter le 4 cylindres et qu'elle serait vendue avant même la fin de l'été.
Evidemment, c'était une grossière erreur: une fois compris comment la faire tourner (même si je l'appelle toujours le "porte-avions"

Bref, j'ai goûté la ZRX et j'ai aimé ça. Du coup, je la garde, je la soigne et il ne me manque qu'à faire les 2-3 modifications qui me trottent dans la tête pour qu'elle soit un peu plus à mon goût encore.
Voilà.
Merci à ceux qui ont eu le courage de lire jusqu'ici et au plaisir.
