Je m'adresse à tous les potos ici, et à leurs collègues qui,
même si leur devoir est de me protéger, me font plus
souvent grimacer que sourire.

Je veux vous dire mon affliction après ce qui s'est passé
dimanche soir et la perte de vos deux collègues dans des
circonstances démentielles et atroces.
Où allons-nous ?
Mes pensées émues et gaffe à vous avec tous ces tarés.
